Un petit déjeuner avant de nous jeter à nos claviers, à nos stylos, à nos pinceaux... Des mots posés, grattés, torturés, éclairés...
Dans une retraite d'écrivains, on a le droit de s'isoler sans se justifier, de revenir sans s'expliquer. Chacune, chacun, comprend l'autre et son combat avec-contre les mots, avec-contre les couleurs.
Dans une retraite d'écrivains, on peut être libre; on n'est plus bizarre; enfin on est soi.
Un beau souvenir...
Déjà seulement un beau souvenir ?
PS : mais d'où provient la tache de lumière sous la table ?
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